falaise-de-rocamadour


 
Informations biographiques

 
Biographie
 
Liste par ordre chronologique
 
 
  Jules de Verneilh
 
 
  Ernest Rupin
 
 
  Robert de Lasteyrie
 
 
  René Grousset
 
 
  André Niederlender
 
 
  Jacques Juillet
 
 
  Jean Rocacher
 
 
  Michel Lorblanchet
 



Avant-propos
 
Les biographies que je vous présente n’ont aucune prétention historique. Le seul objectif est de vous faire connaître les actions et réalisations des auteurs d’ouvrages cités dans les lignes de ce site et pour lesquels, dans leur grande majorité, j’ai puisé mes informations, dans des éloges et hommages rendus aux personnes concernées et dans les domaines où ils exerçaient.
 
Biographies
 
Jules de Verneilh (1823-1899)
 
Jules de Verneilh originaire de Piégut-Pluviers dans le Nontronnais (département de la Dordogne, en région Aquitaine), débuta sa carrière comme dessinateur, graveur puis aquafortiste (voir l’album du Vieux Périgueux, publié avec l’aquafortiste Léon Gaucherel en 1867). Ses travaux archéologiques, qu’il réalisa surtout après la mort de son frère en 1864, sont exclusivement des études locales et ponctuelles, parfois sous forme de "promenades" ou "d’excursions". Contrairement à celle de son frère, la vie savante et officielle de Jules de Vemeilh sort peu des limites de la Gironde, du Périgord et du Limousin: inspecteur divisionnaire de la Société française d’Archéologie à la mort de son frère, il fut ainsi également vice-président de la Société Historique et Archéologique du Périgord depuis sa fondation en 1874 et membre de l’Académie de Bordeaux en 1876.
 
Jules de Vemeilh et son frère Félix de Vemeilh, étaient les petits-fils du baron Joseph de Vemeilh (1756-1839) qui, à côté d’une brillante carrière politique, administrative et juridique (dont les archives ont été achetées par les Archives Nationales), fut l’auteur de travaux historiques pleins d’érudition, dont une Histoire de l’Aquitaine en trois volumes. Leur père, Joseph-Jean-Baptiste de Vemeilh (1789-1871), magistrat, manifestait un grand intérêt pour les dessins de maîtres et les estampes anciennes.
Les deux frères archéologues exercèrent leurs talents à peu près dans la deuxième moitié du XIXe siècle.
Son frère Félix de Vemeilh (1820-1864) devint un archéologue renommé, un homme des Congrès archéologiques et scientifiques, correspondant avec des savants français et étrangers et fut notamment membre de l’Instihlt des Provinces, inspecteur divisionnaire de la Société française d’Archéologie et correspondant du ministère de l’Instruction publique.
 
Source : "Archives départementales de la Dordogne." -  "Répertoire numérique détaillé par Sylvain Cid, stagiaire sous la direction de François Bordes Directeur des Archives départementales de la Dordogne. 1997" (dernière consultation en ligne le 9 décembre 2014) : http://archives.cg24.fr/FCKeditor/upload/file/fonds_et_collections/repertoires/55_J.pdf
 
 
Ernest Rupin (1845-1909)
 
Ernest Rupin est né à Brive le 6 mai 1845. Archéologue, historien de l’art et historien local. Entré en 1867 dans l’administration de l’Enregistrement, comme son père, il fut nommé receveur à Bedous (Pyrénées-Atlantiques). Nommé à Toulouse en 1869, à Brive, en 1873, receveur des actes judiciaires à Brive en 1873. Engagé volontaire en 1870, il devint capitaine au 95e régiment territorial d’infanterie en 1876. Il était aussi membre de la commission administrative de l’hospice en 1890 et membre du comité d’inspection et d’achat des livres de la bibliothèque de Brive en 1897. Il quitta l’administration en 1875 et, riche propriétaire, se consacra à l’acquisition d’une érudition dans le domaine des Arts et des Sciences. Il participa à plusieurs explorations spéléologiques dont celle de la Fontaine de Meyraguet en 1891 avec Armand Viré et fut un collaborateur d’Édouard-Alfred Martel. Il créa en 1879 le Musée de Brive, installé dans l’ancien couvent des Clarisses, et en devint le premier conservateur en 1884. Excellent dessinateur, il a laissé, au musée de la ville de Brive qui a porté son nom jusqu’en 1989, un grand nombre d’œuvres d’art, de meubles et de documents d’une grande valeur, tant sur le plan de la région que de la recherche en général. Parmi ses objets rassemblés il a laissé au musé des tableaux, des dessins et une œuvre photographique réalisée de sa main entre 1878 et 1909. L’ancien musée est aujourd’hui occupé par les Archives Municipales. Le musée Ernest Rupin devenu trop étroit a été transféré dans l’ancien hôtel Labenche en 1989. Le musée Labenche et la chapelle Saint-Libéral de Brive ont accueilli une rétrospective sur la vie et l’œuvre d’Ernest Rupin entre le 5 juillet et le 31 août 2014.
 
Il contribua surtout à l’étude du patrimoine religieux. Son ouvrage ROC-AMADOUR lui valut des critiques de la part des milieux catholiques à cause de sa mise en question de la véracité de la légende de Saint-Amadour.
 
Informations recueillies sur : Comité des travaux historiques et scientifiques : http://cths.fr/an/prosopo.php?id=1803,
Musée Labenche : http://museelabenche.brive.fr/1396954897.php,
Brivemag.fr : http://www.brivemag.fr/2014/07/04/ernest-rupin-un-erudit-a-la-croisee-des-chemins/,
Société scientifique, historique et archéologique de la Corrèze : http://www.societe-historique-correze.org/,
Trésor d’archives, Texte: Archives municipales, Brive Mag - N°217 - 19 : http://archives.brive.fr/Docs/BM217_dec2009.pdf
 
 
Robert de Lasteyrie (1849-1921)
 
Robert, Charles DE LASTEYRIE DU SAILLANT est né le 15 novembre 1849 à PARIS et décédé le 29 janvier 1921 à Allassac en Corrèze.
Député de la Corrèze de 1893 à 1898. Né d’un père qui avait partagé sa vie entre la politique - il avait siégé une dizaine d’années à la Chambre des députés - et l’archéologie, Robert de Lasteyrie du Saillant, à l’issue de brillantes études au collège Rollin, se destinait à l’École polytechnique. Une grave maladie contraria cette vocation et il se tourna alors vers l’Ecole des Chartes, où il fut reçu premier, et vers la Faculté de droit.
Mais, après la guerre de 1870 qu’il termine comme capitaine, c’est à l’érudition qu’il décide de se consacrer exclusivement. Archiviste-paléographe en janvier 1873, il est aussitôt attaché aux Archives nationales ; en 1875, il obtient la première médaille au concours des antiquités de France pour sa thèse de l’Ecole des Chartes, étude sur les comtes et vicomtes de Limoges antérieurs à l’an mil. En 1880, il succède comme professeur à l’Ecole des Chartes à Quicherat dont il était l’élève préféré ; en 1890, il est élu membre de l’Institut.
Rien ne prédisposait donc Robert de Lasteyrie à la politique, si ce n’est la tradition familiale. Et c’est pour lui être fidèle qu’en décembre 1893 il se présente à la députation dans la 2e circonscription de Brive, à l’occasion d’une élection partielle. Il y est élu par 9.550 voix sur 12.154 votants.
A la Chambre, loin de se spécialiser dans les questions relatives à l’instruction publique, il s’intéresse principalement aux travaux publics dont il rapporte deux fois le budget.
Il se représente aux élections de 1898, mais n’obtient que 5.105 voix contre 9.224 au radical Bussière.
Il revient à ses études et c’est de cette époque que datent ses œuvres principales consacrées à la sculpture et à l’architecture française du Moyen âge.
Il mourut à Allassac, dans le domaine familial du Saillant, le 29 janvier 1921. Il avait 72 ans.
Informations recueillies sur le site de l’Assemblée nationale : http://www.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche.asp?num_dept=4387

 
Pour en savoir plus sur Robert de Lasteyrie :
Assemblée nationale : http://www.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche.asp?num_dept=4387
INHA (Institut Nationale d’Histoire de l’Art) : http://www.inha.fr/fr/ressources/publications/dictionnaire-critique-des-historiens-de-l-art/lasteyrie-du-saillant-robert.html
Discours de M. Édouard Cuq. Président de l’Académie des inscriptions et Belles-Lettres. Nécrologie dans Bibliothèque de l’École des chartes, 1921, p. 237-247. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales :
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bec_0373-6237_1921_num_82_1_460483
 
 
René Grousset (1885-1952)
 
René Grousset est né à Aubais (Gard), le 5 septembre 1885. René Grousset fut élu à l’Académie française le 14 février 1946. Professeur d’histoire et de géographie à l’école des Langues orientales, puis fut nommé conservateur-adjoint du musée Guimet. Également chargé de cours à l’école des sciences politiques, il allait poursuivre et achever sa carrière comme conservateur du musée Cernuschi, et enfin comme conservateur en chef du musée Guimet. Secrétaire du Journal asiatique et membre du conseil des musées nationaux, René Grousset est l’auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels on citera Histoire de l’Asie, Le Réveil de l’Asie, Histoire de la Chine, La Chine et son art, Philosophies indiennes, L’Empire mongol, L’Empire des steppes et l’empire du Levant, Histoire de l’Extrême-Orient, Sur les traces du Bouddha, Tableau du VIIe siècle bouddhique, Les Civilisations de l’Orient, Histoire des croisades et du royaume franc de Jérusalem, Histoire d’Arménie. Rappelons encore son Bilan de l’Histoire, manière de testament spirituel.
 
Informations recueillies sur le site de l’Académie française : http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/rene-grousset
 
Lire également : René Grousset (1885-1952) par Jeannine AUBOYER (1912-1990) Conservateur au Musée Guimet Membre Correspondant de l’École Française d’Extrême-Orient. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales :
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/befeo_0336-1519_1955_num_47_1_5405
 
 
André Niederlender (1890-1959)
 
André Niederlender est né à Paris. Dès l’âge de 13 ans il a commencé à s’intéresser aux recherches préhistoriques. Ses premières fouilles, il les fît dans les dolmens et tumuli situés près de gare de Rocamadour.
Ses découvertes ont apporté une contribution précieuse à l’étude de ces monuments funéraires, témoins d’un passé mystérieux... Après ses premières fouilles dans les dolmens et tumuli M. Niederlender explora avec son ami M. Raymond Lacam la Crozo del Dua dans le canyon de l’Alzou qui donna un Moustérien archaïque d’époque froide. La grotte du Mas Viel , prè de Flaujacalla où avec M. le Dr Cadiergues, Maire de Lacapelle-Marival, ils trouvèrent la même industrie, mais évoluée et d’époque plus chaude. La grotte du Trioulet dans la même région qui livra les vestiges d’un habitat du bronze et du fer. L’abri Pagès, au confluent de l’Alzou et de l’Ouysse, fournit une Azilien non classique, dont les galets recouverts d’ocre rouge ou gravés de signes demeuraient une énigme. L’abri du Peyre, prè du pont de ce même nom, dans la vallée de l’Ouysse, recélait un gisement du Mésolithique aux instruments petits et rares.
La station de Roucadour située sur le Causse de Gramat, dans la commune de Thémines découverte par M. Niederlender en 1925 en accompagnant le grand spéléologue Martel dans l’exploration d’une caverne. Ce gisement qui s’étend devant la grotte et dont l’épaisseur des dépôts d’habitation humaine atteint par endroits près de 4 m, présente une stratigraphie qui en fait l’un des plus importants pour l’étude de l’époque néolithique ainsi que des âges du bronze et du fer.
André Niederlender et M. Raymond Lacam ont découvert dans l’abri sous roche du Cuzoul, près de Gramat, un squelette complet appartenant à l’époque dite tardenoisienne.
Ce squelette fut étudié par des savants anthropologues, tels Marcelin Boule et le Professeur Vallois. Un important mémoire fut publié sous la signature du Professeur Vallois, D’André Niederlender et de Raymond Lacam. Avec l’assentiment sans réserve de la ville de Gramat propriétaire du terrain, ces derniers firent don à l’État de ce document important pour la science.
Le squelette a été déposé à l’institut de Paléontologie humaine où il figure en bonne place sous le nom de « ,Homme de Gramat ».
M. Niederlender a déposé au Musée de préhistoire régionale de Cabrerets, dont il était le Conservateur, une importante collection comprenant notamment le mobilier funéraire de nombreux dolmens et tumuli, ainsi qu’une industrie de grottes et d’abris sous roche. Cette collection voisine avec celle de M. chanoine Lemozi et d’Armand Viré.
M. Niederlender a consigné le résultat de ses diverses recherches dans un certain nombre de communications publiées en particulier dans notre Bulletin de la S.P.F., dans celui de la Société d’Études et de recherches préhistoriques des Eyzies et dans le Bulletin de la Société des Etudes du Lot. Un mémoire sur la Station de Roucadour, en collaboration avec son ami M. le Dr Arnal, sera édité prochainement.
Ses travaux et sa compétence avaient valu à M. Niederlender d’être nommé expert en Préhistoire près du Ministère de l’Éducation nationale, membre correspondant de la Commission supérieure des Monuments historiques. Délégué de la Société Préhistorique Française.
André Niederlender fut non seulement un éminent préhistorien mais il tint une place de premier plan dans sa cité de Rocamadour dont il fut Maire pendant 14 ans. Entre autres réalisations profitables &agarve; la commune, c’est lui qui fit classer le site de Rocamadour. Il fut membre de la Chambre de Commerce du Lot. Il était également vice-président du Syndicat d’électrification du Nord du Lot.
M. Niederlender a apporté, par ses travaux, une très importante contribution à la connaissance de notre sol et de ses anciens habitants.
 
Informations recueillies dans un extrait du « Bulletin de la Société Préhistorique Française N° 11-12, 1959, Séance du 26 novembre 1959 (P643-645) » disponible sur persee http://www.persee.fr
« Hommage rendu à la mémoire d’André Niederlender par ses collègues de la Société Préhistorique Française. »
 
Eléments de bibliographie d’André Niederlender - Société Préhistorique Française - 
 
Armand Viré. Les fouilles d’André Niederlender. Congrès de la S.P.F 1908. p.393.
Armand Viré. Le crâne du magdalénien finissant de l’abri Murat à Rocamadour (tardenoisien). Bull. Soc. préhist. fr. 1929. n°9. pp.3-4.
L’outillage de la sépulture de l’abri Murat (Rocamadour). Bull. Soc. préhist. fr. 1925
Niederlender et Hélie. Les grottes de Lacave. Collection « Les merveilles de la France ». Paris. Braun et Cie.
R. Lacam. Niederlender et Vallois. Le Gisement mésolithique du Cuzoul. Mémoires de Inst. Paléont. Humaine. n°21. Masson, Paris 1944.
A. Niederlender. Quelques poteries moyenâgeuses trouvées à Rocamadour. Société Arch. du Lot.
A. Niederlender. R. Lacam. De Sonneville-Bordes. L’abri Pagès. Anthropologie. 1956. P. 417.
A. Niederlender. Lacam. Cadiergues et F. Bordes. Le Gisement moustérien de Mas Viel. Anthropologie. 1956. P. 209.
A. Niederlender. R. Lacam J. Arnal. Fouilles de Roucadour. Thémines. Lot. Bull. préhist. fr. 1952. p. 477.
A. Niederlender. R. Lacam J. Arnal. Etude sommaire des dégraissants de la poterie de Roucadour. Bull. Soc. préhist. fr. 1953. p. 241.
A. Niederlender. R. Lacam J. Arnal. Mors en bois de cerf de Roucadour. Bull. Soc. préhist. fr. 1953. p. 515.
A. Niederlender. R. Lacam J. Arnal. Les dolmens de Salers (Théminettes Lot). Bull. Soc. préhist. fr. 1959. p. 456.
A paraître : La stratigraphie de Roucadour(Thémines) Lot.
 
Autres références bibliographiques d’André Niederlender
 
Niederlender. A., Lacam R., J. Arnal. J. (1966) - Le gisement néolithique de Roucadour; Thémines, Lot. Gallia Préhistoire. IIIe supp. CNRS, Paris. 206p. 42 fig. XVI pl.
(Référencé dans : La stratigraphie de l’âge du Bronze et de l’âge du fer à Roucadour (Thémines, Lot) ; analyse culturelle et incidences paléogéographiques. Jean GASCO -  Bulletin de la Société Préhistorique française 2004, tome 101. n°3. p 521-545)
 
Références mentionnées dans : J. ARNAL, J. L. COUCHARD y M. LORBLANCHET (Francia) A la mémoire d’André Niederlender La Grotte de Roucadour (Thémines - Lot).
    A. NIEDERLENDER, R. LACAM et J. ARNAL: « Le gisement néolithique de Roucadour », Numéro spécial 111 de Gallia-Prehistoire, París 1967.
    R. LACAM et A. NIEDERLENDER: « Le Cuzoul de Gramat. Gisement mésolithique », Archives de l’Institut de Paléonthologie humaine, n°21, Paris, 1944.
    A. VIRE: « Fouilles de M. A. Niederlender dans les tumulus et dolmens de la gare de Rocamadour ». Congres de la Société Préhistorique Française, Paris 1911, p. 393.
 
 
Jacques Juillet (1918-2011)
 
Homme politique et écrivain, Jacques Juillet est né le 24 février 1918 à Saint-Flour dans le Cantal et décédé le 18 novembre 2011. Il a reçu plusieurs décorations : Commandeur de la Légion d’honneur, Croix de guerre 39-45, Croix du Combattant volontaire, Médaille d’argent de la Reconnaissance française. Chevalier du Mérite maritime et des Arts et des Lettres, Chevalier de l’ordre souverain de Malte. Membre de la Société de l’histoire et du patrimoine de l’Ordre de Malte.
Ses ouvrages :
Loubressac en Quercy-Turenne. Jacques Juillet. Paris : [s.n.] (1967)
Les 38 barons de Castelnau : seconds barons chrétiens du royaume et leur baronnie, leur château, leurs églises. Jacques Juillet. Bretenoux (46130). J. Juillet, 1971
Commanderies sur le chemin de Rocamadour. Jacques Juillet. Saint-Yrieix-la-Perche : Fabregue (1975)
Templiers et Hospitaliers en Quercy / Jacques Juillet / Cahors : Ed. Quercy-Recherche et Ed. du Laquet (1999)
Loubressac En Quercy-Turenne, Jacques Juillet, éditeur Le Mercure Dauphinois 2005
Rocamadour, Symboles et Histoire, Jacques Juillet éditeurr Le Mercure Dauphinois 2005
Les Tours-Saint-Laurent de Jean Lurçat près Saint-Céré, Jacques Juillet, éditeur Le Mercure Dauphinois 2005
Au pays des Quatres Rivieres, Jacques Juillet, éditeur Le Mercure Dauphinois 2007
Seigneurs et Dames de Montal en Quercy-Turenne, Jacques Juillet, éditeur Le Mercure Dauphinois 2007
Saint-Céré et ses alentours, Jacques Juillet, éditeur Le Mercure Dauphinois 2007
Templiers et Hospitaliers en Quercy. Commanderies et prieurés-sur le chemin de Notre-Dame de Rocamadour, Jacques Juillet, éditeur Le Mercure Dauphinois 2010
Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes Joseph-Antoine Durbec Introduction par Jacques Juillet, éditeur Le Mercure Dauphinois 2001
 
En savoir plus sur Jacques Juillet : http://www.whoswho.fr/decede/biographie-jacques-juillet_6126" class="archive
 
 
Jean Rocacher (1928-2008)
 
Jean Rocacher est né en 1928 à Tulle. Diplômé de théologie. Membre de la S.A.M.F. (1983-2008). Membre titulaire en 1983 à la Société Archéologique du Midi de la France, il était aussi membre de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles Lettres. »
Informations recueillies dans « Éloge prononcé par Henri Pradalier lors de la séance du 21 octobre 2008 » sur le site des Sociétés Savantes de Toulouse : http://www.societes-savantes-toulouse.asso.fr/samf/membres/rocacher.htm
Jean Rocacher a disparu dans une noyade à Sète le mercredi 3 septembre 2008.
 
 
Michel Lorblanchet
 
Préhistorien, Michel Lorblanchet est né le 7 février 1937 dans le Lot à St-Denis-Pré-Martel. C’est un spécialiste mondialement reconnu pour l'étude des grottes ornées et l'art pariétal. Il a notamment fouillé et étudié les sites Cap York, Grampians, Dampier en Australie et en France : Cougnac, Les Fieux (la plus ancienne du Quercy), Roucadour, Abri Murat.
 
- série de missions en Inde pour étudier l'art rupestre préhistorique de 1990-2000 (exposition au Musée de l'Homme avec son collègue indien Yashodhar Mathpal, sur l'art rupestre de l’Inde)
- membre de la commission supérieure des Monuments Historiques, section grottes ornées- au Ministère de la Culture de 1980-1990.
 
Admis au CNRS en 1969, Michel Lorblanchet a été nommé directeur de recherches au CNRS en 1995. En retraite depuis 1999, il est aujourd’hui directeur de recherche honoraire au CNRS
 
Son parcours dans le Lot
 
- conservateur bénévole (et créateur) du Musée A. Lemozi à Cabrerets (Lot) associé à la grotte de Pech-merle (de 1978 À 1985) en même temps que chercheur au CNRS).
- fouilles de l’abri Murat (Rocamadour-Lot) (1983-85) montrant la fin de l’art animalier du Magdalénien supérieur et sa persistance au début de l’Azilien.
- étude systématique des grottes ornées paléolithiques du Quercy de 1966 à aujourd'hui ; nommé directeur de recherches au CNRS en 1995.
- de 2002 à 2007 il dirige l’étude collective de la grotte de Roucadour-Lot.
 
Sélection d'ouvrages de Michel Lorblanchet concernant le Lot et le Quercy
 
- 1974 L’art préhistorique en Quercy, la grotte des Escabasses, Themines, Lot
- 1989 Pech-Merle centre de Préhistoire, grotte et musée
- 1997 Cougnac les grottes magiques
- 2001 La grotte ornée du Pergousset, un sanctuaire paléolithique
- 2004 L’art préhistorique du Quercy
- 2010 L’art pariétal : grottes ornées du Quercy, Editions du Rouergue
 
Autre ouvrages de Michel Lorblanchet
 
- 1982 Aboriginals and Rock Art in the Grampians Victoria-Australia, 1982, PJ. Coutts and M.Lorblanchet, Victoria Archaeological Survey 198 p.78 fig.
- 1995 Les grottes ornées de la Préhistoire, nouveaux regards
- 1992 Rock Art in the Old World Michel Lorblanchet editor, 1992, New Delhi , Indira Gandhi National Centre for the Arts (Symposium A, AURA Congress) 538 p, 500 illustrations (participation de chercheurs de 15 nationalités différentes).
- 1999 La naissance de l’art, Editions Errances
- 2002 Rock in the old world
- 2006 Les origines de l’Art
- 2006 Chamanisme et art préhistorique (Collectif)
 
Informations recueillies en décembre 2014 sur http://www.hominides.com/html/biographies/michel-lorblanchet.php
 
Pour en savoir plus sur Michel Lorblanchet consultez le site « Homidés », rubrique "biographies"
 
 
Charly SENET




Charly Senet Auteur du livre Angélus
Copyright © 2011 - 2016 Charly Senet - tous droits réservés pour tous Pays
Dépôt:  Étude Notariale 2010 - Académie des Sciences Paris 2011, 2012
Dépôt Étude archéologique Académie des Sciences Paris:  1er et 2e sem 2012, 2014